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Rumeur à Pompidou
2021.07
Performance participative avec le public lors de la journée de performance à Pompidou.
"Règle numéro un, invitez 4 personnes à faire un cercle debout.
Règle numéro deux, chaque participant·es aura une question à résoudre avec les acquis des réponses antécédentes. Mais ne vous formalisez pas trop, c'est une discussion [...]"Voici comment commence la performance rumeur. Grâce à une suite de questions, le public sera invité à développer une rumeur. Faisant directement appel à l'imaginaire et à la remise en question, le petit groupe va soudainement être pris dans une breve mais intense conversation.
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scénario à 5 inconnus
2019.09
Texte lu par des spectateurs volontaires.
Le spectateur est il prêt à s'émanciper, en a-t-il au moins la possibilité ? est ce un désir ?
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idiotsOrganism
2019.09
Standalone installation
screen, motor and hazel wood.L’écran de l’ordinateur, fenêtre sur l’infini, je suis comme un insecte attiré par la lumière dans la nuit. Philippe Katerine dit ‘tu parles, tu meurs, tu parles plus”, l’arbre mort sert de socle aux micro organismes qui se propagent à l'écran.
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Myself is not enough
2019.09
co-directed with Ninon Lizé Masclef.
interactive video installation
with one-way mirror, screen, camera and computerQuand le spectateur s’approche du miroir, une voix vient à sa rencontre et lui propose de jouer à un jeu.
Alors que Narcisse se noie dans son image et que la reine fait tout pour être la plus belle du royaume (mirror, mirror on the wall, who's the fairest of them all ?). Le spectateur trouvera t il la réponse à cet imposant dispositif ?
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random acces memory
2018.10
Utilisation du jeu vidéo Rust
musique : Golden Hours de Brian EnoNous sommes des machines.
Nous ne sommes pas des machines.
Voulons nous être des machines ?
l'inconscient fait il de nous des machines ? -
spectateur passif
2018.10
vidéo trouvé sur internet, rien n’est modifié, ni le son, ni l'image, seul les sous-titres ont été ajouté.
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scénario pour 7 inconnus
2017.10
Lecture participative de 20 minutes
au Centre d'art Contemporain - La traverse
pour le festival Le bruit des choses oubliées
organisé par Aziyadé Baudouin-TalecQuel est le terme approprié aux personnes venant voir une performance ; spectateur, pour l'aspect spectaculaire ; public, pour ne pas prendre de risque ; visiteur, qui a pour vocation de repartir ; auditeur/écouteur ou regardant/regardeur, qui délimite bien leur fonctions ; il y a aussi curieux, pour donner un peu d’excentricité ou bien ; témoin, qui est là pour constater. Il est évident, que dans une société marchande, celui qui "fait" de celui qui "utilise" doit être bien séparé ; il y a celui qui gagne l'argent et celui qui dépense.
Freinet écrivait en 1964 dans ses invariants pédagogiques :
« La voie normale de l’acquisition n’est nullement l’observation, l’explication et la démonstration, processus essentiel de l’École, mais le tâtonnement expérimental, démarche naturelle et universelle ».
« Les acquisitions ne se font pas comme l’on croit parfois, par l’étude des règles et des lois, mais par l’expérience. Étudier d’abord ces règles et ces lois, en français, en art, en mathématiques, en sciences, c’est placer la charrue devant les bœufs. »
Si — La pédagogie active a pour objectif de rendre la personne acteur de ses apprentissages, afin qu'il construise ses savoirs à travers des situations de recherche. — il est peut être une voie qui propose aux témoins de s’émanciper de leur passivités. -
tie kaj nun
2017.08
Performance à la Galerie Thaddaeus Ropac.
Vidéo-projecteur, kapla, bois et écrans portatif.Pendant que le public était invité à construire une tour en Kapla la plus haute possible, une projection vidéo de 20 minutes racontait la survit d'un humain dans la foret construisant une maison de fortune. Les spectateurs étaient aussi invité à lire à haute voix un dialogue crypté qui défilait sur de petits écrans.
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tablo fari kastoroj (le tableau du faire des castors)
2017.08
Installation vidéo présenté à la galerie Thaddaeus Ropac.
Sur un échafaudage fragile, 2 castors parlent en espéranto,
l'un doute de l'entreprise qu'ils sont en train de mener …Technique : dispositif incluant une construction fragile et deux systèmes audiovisuelles.
Médiums : bois, peinture pour tableau noir, feutre effaceur.
Dimensions : 4m. de longueur sur 2m. de largeur sur 4m. de hauteur.
Article de Maxence Alcaldedifférentes pistes de lecture :
Avant d'être un médiocre dessin animé, Père Castor à commencé sa carrière comme personnage principal d'une collection de livret peu cher destiné à tout les enfants. Créé dans l'entre-deux-guerres par Lida Durkidova et Paul Faucher, en rupture avec l'institution traditionnelle, ils suivent le courant de la pédagogie active qui fleurit dans de nombreux pays.
Mélange simple des langues indo-européenne, cela fait plus d'un siècle que l'espéranto existe. Elle aurait pu devenir la langue universelle, mais malgré des regroupements de visionnaires qui entretiennent le dialecte dans la plupart des capitales du monde, elle reste le langage d'un fantasme humaniste. -
romantic massicot
2015.10
Installation lors de la nuit blanche de Paris, Perdre la tête au pays des selfies au Grand Palais à Paris.
Bois, lierre en plastique, tissus, écrans.
À l’occasion de l’exposition d’Elisabeth Vigée Le Brun, PEZCORP revisite l’art du portrait, la chute de la royauté, l’égotrip du selfie moderne, la beauté virtuelle, dans un monde où le cadre de l’image et le reflet de notre âme ne cessent de se redéfinir.
Laisse toi entraîner jusqu’à la salle des miroirs, on y questionne les archétypes de l’auto-représentation et le fantasme narcissique. Viens voir comment l’on se fascine pour la jeunesse éternelle de ces nobles visages, représentés pour asseoir leur pouvoir. Ce culte de l’apparence tu le reconnais à chaque époque, tu le désires, tu le hack, tu le refuses, tu te masturbes , pour y voir quoi, la petite mort ?
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collider box
2014.10
Installation à l’Artist Run Space Hekla lors de l’événement Limbo Mambo Jambo #5 à Brussels.
Carton, vidéo-projecteur, lumière noire.
L’ensemble des murs de l’espace d’exposition ont été recouvert de boîte de carton.
La nuit du Samedi 11 Octobre, dans et entre les espaces artistiques De La Charge, H.E.K.L.A, Rosa Brux et Abilene, les spectateurs étaient invités à pénétrer les Limbes, pour - et peut être ne jamais en ressorti - vivre une soirée artistique ponctuée de transhumances, projections astrales, sound system, aires de repos, creux, absences, débats, films, ritournelles, cocktails, soupe à l’oignon, Comptine S.F etc.
Le projet s’est articulé à partir de la temporalité même des noctambules, amenés à passer une nuit entière en état d’éveil.
Une nuit blanche peut survenir pour de multiples raisons : parce qu’on est angoissé, parce qu’on fait la fête, parce qu’on travaille toute la nuit, etc. A donc été pensés, dans le cadre d’une déambulation libre, des systèmes d’accueil différents en fonction de chaque lieu: un premier espace qui joue les modes d’accueil d’un vernissage classique, un autour d’une énergie plutôt festive, un troisième plus mystique et un dernier questionnant les différents stades du sommeil.
photo @Charlotte Gonzalez -
internet est éternel
2013.10
site internet participatif et narration interactive et sonore.
Serveur, ordinateur, capteur ultrason, enceintes.
Production : LeFresnoy, Studio National des Arts Contemporains.L’installation Internet est éternel s’articule en deux temps : une installation interactive ; et un site internet. L’objet installé dans l’exposition est un serveur, une boite noir. Il récupère dans une base de données des enregistrements audio transmis par le biais du site internet et les rediffuse dans l’exposition. Plus le spectateur s’approche du Monolithe noir plus le son est intense. Dans des conditions optimales ; dans un espace isolé, à partir d’un certain moment, le son devient tellement violent qu’il empêche la personne d’aller au contact de l’objet.
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thinkTank
2012.10
Narration interactive, programme informatique.
Production : LeFresnoy, Studio National des Arts Contemporains.Pénétrer dans ThinkTank, c’est avant tout entrer dans deux types d’espaces. Celui d’une cabine confinée qui est le début philosophique et matériel de l’œuvre, mais également son ossature retenant la chair de son message : un espace virtuel et labyrinthique plus ample que son hôte. L’installation procède, en premier lieu, d’une dialectique de l’évasion et de l’enfermement. De ce premier paradoxe naît une angoisse, celle qui surgissait des Prisons de Piranèse où des lieux gigantesques s’embrassaient furieusement d’un simple regard posé sur une feuille A4. Ces gravures furent elles aussi des espaces virtuels avant d’être des exemples sur la base desquels nous érigeâmes nos prisons modernes. Le vertige de ces architectures abyssales est doublé par leur caractère prophétique. L’homme dépassé jadis par la nature l’est maintenant par ce qu’il a créé.
Cet espace, le spectateur le découvre assis face à un ordinateur. Après quelques questions éliminatoires, il est invité à pérégriner de zone en zone dans ce dédale, croisant Robert Filliou au hasard des impasses (entre autres surprises), pendant que défile sur l’écran une série de phrases, des souvenirs que semble nous raconter directement une machine qui transgresse les limites de l’intelligence artificielle. L’ordinateur est un simulacre du cerveau, une prothèse aurait dit Daniel Dezeuze, mais jusqu’à quelle mesure est-il capable de se substituer à la pensée ? Peut-il feindre l’émotion ou la curiosité ? L’homme dépassé jadis par sa création l’est maintenant par sa créature.
Avec ThinkTank, Félix Ramon nous fait nous interroger sur qui, de l’homme ou de la machine, est le maître ou l’esclave. L’artiste lui, s’en amuse, subsumant ces deux états dans son rôle de marionnettiste.
Thomas Coquelet -
textEdit
2011.10
Performance
Ordinateur et vidéoprojecteur.
J’écris un texte sur un logiciel de traitement de texte en plein écran, le texte est directement transposé en projection.
Cette performance commente les évènements se déroulant autour du dispositif. Le texte décrit les actions en cours, ajoute des personnages imaginaires et dérive vers d’autres temps.
*“il n’arrive plus à dormir le soir.
On lui avait pourtant dit de ne pas chercher dans cette direction.
Qu’il allait perdre des choses en route.
Mais il n'écoute personne, il le savait pourtant, il était prévenu.
Maintenant, dans la nuit, lorsque ses yeux brûlent de fatigue,
il essaye de se coucher et de laisser aller son corps épuisé, mais rien n’y fait.Il n’a pas pu s’empêcher de taper, il lui fallait une réponse.
Tristement, il accumulait le manque, rien ne résonnait plus,
il pensait n’avoir plus besoin d’écho.
[...]
et elle chuchote encore, je l’écoute avec difficulté,
elle va encore recommencer à crier ... je le sens.
Il pense qu’il va pouvoir les corrompre
les manipuler et leur donner l’envie de faire des choses qu’ils n’auraient jamais osé faire avant.
– Oh oui ! disait-elle. mais elle ne se relèverait jamais de cette sale histoire.
Mais cette conne, elle criait bien fort.”* -
echoes
2011.10
Vidéo de 11 minutes en 16/9
Réalisée dans le cadre du projet BlueSky : Barrage.
Présenté par l’association Autour de la Terre.Musique additionnelle : Echoes de Pink Floyd.
Images additionnelles : Solarmax de John Weiley et les images de la NASA.C’est un soir d’hiver, je suis assis sur le rebord d’une fenêtre. Une de mes mains touche le côté intérieur du mur, l’autre le côté extérieur, un froid et un chaud. De telle manière que je peux considérer l’épaisseur du mur dans la caverne.
La narration se construit une entité en passant de souvenirs cognitifs à affectifs, en permanente fabrication de fictions.
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learn to store (visitorLog)
2011.10
Installation interactive
Ordinateur, clavier préparé et vidéoprojecteur, mur de projection peint en or.
Un logiciel de traitement de texte est projeté en pleine page. Un clavier est laissé à disposition du spectateur qui peut, s’il le désire, s’en servir pour écrire sur le traitement de texte. Seuls les touches des lettres, des chiffres et des ponctuations sont actives. Il est impossible de revenir en arrière. L’écran de projection, souvent un mur, est peint de couleur or. La police de caractères est Lucida Console de taille 6.
La page se remplit au fur et à mesure des personnes qui teste le mécanisme. La projection finit par être une accumulation de phrases plus ou moins lisibles, parfois s’apparentant au message personnel, parfois au livre d’or. Au milieu de cette multitude d’informations plus ou moins cryptées, quelque chose nous est-il destiné ?
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le temple et le bazar
2011.04
Installation interactive
Ordinateur, écran ou vidéoprojecteur et clavier préparé.
L’ensemble de l’installation est posé sur une table de bureau. Certaines touches du clavier sont attribuées à une vidéo. Les autres touches sont désactivées. Le programme QuicKeys permet l’interaction entre le clavier et les fichiers vidéo. Il y a 10 vidéos variant entre 4 et 8 minutes, les vidéos tournent en boucle tant que le spectateur n’a pas validé un choix.Après 10 minutes d’inactivité la vidéo rhizome redémarre.
L’installation Le Temple et le Bazar est inspirée du texte The Cathedral and the Bazaar d’Eric S. Raymond, écrit en 1997. Le livre confronte les manières de développer un logiciel Open Source et un logiciel propriétaire.
Cette adaptation retrace les deux types d’architectures, le modèle compétitif contre le modèle collaboratif. Deux mondes se nourrissent mutuellement tout en ayant une morale opposée. L’interaction proposée met en avant une architecture à la fois hiérarchique et cyclique.
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amor ex machina
2010.10
Vidéo Triptyque 8’00’’
Musique additionnelle : Don Giovanni - Act II Aria n°24 : Final “a cenar teco” - Mozart & DaPonte
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rememBlues
2010.10
Boucle vidéo 1’25’’
Found Footage du logo de Walt Disney Picture ralentie à 20%.
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fictions all around us
2009.12
Sculpture
Pierre de meulière peinte à la bombe de peinture noire mate avec le morceau de musique Rockets Fall On Rocket Fall de Godspeed You! Black Emperor.Dans mon adolescence, j’ai pris une pierre, une grosse pierre de quelques kilos et je l’ai peinte en noire. Et durant longtemps j’étais convaincu que c’était une météorite, ou même un artefact sacré. Le temps a passé, elle est resté dans ma forêt, petit à petit la peinture s’est détachée de la masse minérale et elle est redevenu pierre parmi les pierres. Mais pour moi, elle continue à briller dans le noir.
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searchingWind
2009.10
Installation vidéo (boucle 13 minutes)
Structure métallique de type portique lumière de spectacle, praticables démontable, projections sur l’ensemble des murs de l’espace, lumières stroboscopique blanche.
Found Footage des films de science fiction dans l’espace.
L’espace l’ultime frontière, l’espoir et le salut de l’humanité y réside. C’est du moins ce qu’avance certaines prophéties contemporaines.
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3 steps to
2008.06
Installation vidéo
2 pastiche de colonnes corinthiennes en polystyrène de 2,50 mètres et une moitié de colonne servant de socle au vidéo-projecteur. Entre les deux colonnes est tendu un tissus blanc de projection. Entre les trois colonnes passe une chaîne en fer.
La vidéo (4/3) projeté représente un travelling en contre sens d’un escalator descendant, un temple en 3D et des found footage du film Rumble Fish (1983) de Francis Ford Coppola.Les méthodes pour réussir sont nombreuses, mais pour y arriver il faut suivre les règles, étape par étape. À la recherche du dépassement de soi, la volonté se confronte à la nature de l’homme.
Je me trouve au centre d’une grande place rectangulaire encadrée par des colonnes corinthiennes. Le ciel est bleu mais la lumière est grise. J’avance vers l’extérieur de la place et après être passé sous les colonnes, je monte 3 marches et je me retrouve sur une nouvelle place de même dimension. Cette action se répétera 3 fois. Fait étrange, à chaque passage sous les colonnes, la lumière gagne en intensité, si bien qu’arrivé sur la neuvième place, je me retrouve dans un espace extrêmement lumineux, je ne touche plus les pieds à terre et bientôt je baigne dans cette saturation blanche. est-ce le but recherché ? -
la chambre noire
2006.11
Installation
Une ampoule rouge, une télévision en noir et blanc diffusant une chaîne d’information et 3 tables IKEA INGO.
Sur la première table est dessiné une carte du monde à la pyrogravure avec la migration des oiseaux dans le monde.La deuxième table est entièrement peint à la peinture pour tableau noir. Sur la table, une carte du monde dessiné à l’effaceur blanc, avec inscrit à la craie la densité de population de chaque continent.
Sur la dernière, la carte du monde est dessiné sur un papier à décalquer, il y a des petites photos de notices d'appareil electroniques entre le papier et la table.
J’ai passé beaucoup de temps dans la chambre noire de mon lycée sous la lumière inactinique à respirer les bains du révélateur et du fixateur, développant ainsi les images photographiques de mon adolescence. Je passais de longs moments à regarder les photographies des autres étudiants. Des visages, des architectures, des situations, des corps, des lumières. A force de les regarder, je fini par m’ennuyer, chacune à sa manière était unique, d’une beauté fragile ou d’une réussite géométrique mais je me posais la question, pourquoi cette image avait été retenu plus qu’une autre. Et plus j’allais dans la chambre noire, moins je comprenais cette représentation du monde, cette accumulation d’images cherchant à sauvegarder une certaine beauté matérielle.
Plus cette idée m’envahissait, moins j’avais envie de faire de la photographie. Et pourtant, l’excitation de voir ces images dans cet espace noir me fascinait. Je continuais donc à prendre des photos malgré moi, mais je ne prenais plus de photo de mon quotidien. C’est dans la nuit, environ une fois par semaine, que j’installais une table photographique. Pliant de moitié mon matelas, mettant des lumières de chaque côté et installant mon appareil sur un pied, et je prenais en photo un manuel d’électroménager ou des papiers administratifs. Le lendemain j’allais travailler sur les agrandisseurs de la chambre noire, en passant autant de temps à regarder les nouvelles photographies dans le séchoir.
Cette petite habitude continua quelques mois, jusqu’au mois de mai, un des premiers soir où il commence à faire beau et chaud. J’étais en train de récupérer des photos dans la chambre noire, lorsqu’une fille, que j’avais déjà croisé plusieurs fois sans jamais lui avoir vraiment parler, entra dans la salle. Elle s’approcha de moi et regarda la photos que j’avais entre les mains, un manuel de machine à laver, et pendant qu’elle regardait mon image je regardais son visage, elle se retourna vers moi et éclata de rire. Quelques minutes plus tard nous étions en train de se déshabiller l’un l’autre. Nous passions la nuit dans la chambre noir. J’ai arrêté de faire des photos et je suis devenu iconoclaste durant une longue période.